Keynote: Exploring the Structural Determinants of Health in Canada: Considerations for research on dementia in racialized communities
Ingrid Waldron
McMaster University / Université McMaster
Dr. Ingrid Waldron is Professor and HOPE Chair in Peace and Health in the Global Peace and Social Justice Program in the Faculty of Humanities at McMaster University. Dr. Waldron’s research program focuses on the lived experiences of key stakeholders involved in Canada’s first care farm program for people with dementia, experiences of anxiety and depression among racialized communities, experiences of mental illness and help-seeking in Black communities, the structural determinants that expose Black communities to COVID-19, and the health and mental health impacts of environmental racism in Black and Indigenous communities.
She is the author of There’s Something in the Water: Environmental Racism in Indigenous and Black Communities, which was turned into a 2020 Netflix documentary of the same name.
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Madame Ingrid Waldron, Ph. D., est professeure et présidente de HOPE en paix et en santé dans le Programme de paix mondiale et de justice sociale de la Faculté des sciences humaines de l'Université McMaster. Le programme de recherche de Mme Waldron est axé sur l'expérience vécue des intervenants clés impliqués dans le premier programme de ferme thérapeutique pour les personnes atteintes de maladies neurodégénératives, ayant une expérience d'anxiété et de dépression au sein de communautés racisées, une expérience de maladie mentale et de recherche d'aide dans les communautés noires, les déterminants structurels qui exposent les communautés noires à la COVID-19, ainsi que l'impact sur la santé physique et mentale du racisme environnemental dans les communautés noires et autochtones.
Elle est l'auteure de There’s Something in the Water: Environmental Racism in Indigenous and Black Communities (Il y a quelque chose dans l'eau : Le racisme environnemental dans les communautés autochtones et noires) qui a été tourné en un documentaire Netflix de même nom en 2020.
McMaster University / Université McMaster
Dr. Ingrid Waldron is Professor and HOPE Chair in Peace and Health in the Global Peace and Social Justice Program in the Faculty of Humanities at McMaster University. Dr. Waldron’s research program focuses on the lived experiences of key stakeholders involved in Canada’s first care farm program for people with dementia, experiences of anxiety and depression among racialized communities, experiences of mental illness and help-seeking in Black communities, the structural determinants that expose Black communities to COVID-19, and the health and mental health impacts of environmental racism in Black and Indigenous communities.
She is the author of There’s Something in the Water: Environmental Racism in Indigenous and Black Communities, which was turned into a 2020 Netflix documentary of the same name.
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Madame Ingrid Waldron, Ph. D., est professeure et présidente de HOPE en paix et en santé dans le Programme de paix mondiale et de justice sociale de la Faculté des sciences humaines de l'Université McMaster. Le programme de recherche de Mme Waldron est axé sur l'expérience vécue des intervenants clés impliqués dans le premier programme de ferme thérapeutique pour les personnes atteintes de maladies neurodégénératives, ayant une expérience d'anxiété et de dépression au sein de communautés racisées, une expérience de maladie mentale et de recherche d'aide dans les communautés noires, les déterminants structurels qui exposent les communautés noires à la COVID-19, ainsi que l'impact sur la santé physique et mentale du racisme environnemental dans les communautés noires et autochtones.
Elle est l'auteure de There’s Something in the Water: Environmental Racism in Indigenous and Black Communities (Il y a quelque chose dans l'eau : Le racisme environnemental dans les communautés autochtones et noires) qui a été tourné en un documentaire Netflix de même nom en 2020.
Keynote: What about seXX?: Importance of considering sex and gender in Alzheimer’s and aging research
Michelle Mielke
Wake Forest University
Michelle M. Mielke, Ph.D. is Chair of the Department of Epidemiology and Prevention, Professor of Epidemiology, and Professor of Gerontology and Geriatric Medicine at Wake Forest University School of Medicine. Dr. Mielke works as a translational epidemiologist to further understanding of the etiology and epidemiology of neurodegenerative and other aging-related diseases. One focus of her research is understanding the utility of blood-based biomarkers at the population level for screening and diagnosing Alzheimer’s disease (AD). Another focus is on understanding sex and gender differences in the development and progression of AD and of other aging-related conditions. Dr. Mielke directs the Mayo Clinic Specialized Center of Research Excellence (SCORE) on Sex Differences. She received the John R. Raymond Mentor Award from the Women Scholars Initiative. She is the PI of several NIH-funded clinical- and epidemiological-based grants and has published over 360 manuscripts.
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Michelle M. Mielke, Ph. D. est titulaire de la chaire du Département d'épidémiologie et de prévention, professeure d'épidémiologie et professeure de gérontologie et de médecine gériatrique à l'École de médecine de Wake Forest University. Mme Mielke travaille comme épidémiologiste translationnelle dans le but d'approfondir la compréhension de l'étiologie et de l'épidémiologie des maladies neurodégénératives et autres maladies liées au vieillissement. Un accent de sa recherche est la compréhension de l'utilité des biomarqueurs sanguins au niveau de la population pour dépister et diagnostiquer la maladie d'Alzheimer (MA). Un autre accent est la compréhension des différences entre sexes et genres dans le développement et la progression de la MA et d'autres affections liées au vieillissement. Mme Mielke dirige le Centre spécialisé en excellence de la recherche (SCORE) sur les différences sexuelles de la Mayo Clinic. Elle a reçu le prix John R. Raymond Mentor de la Women Scholars Initiative. Elle est l'investigatrice principale de plusieurs subventions à base clinique et épidémiologique financées par les National Institutes of Health (aux États-Unis) et a plus de 360 publications à son actif.
Wake Forest University
Michelle M. Mielke, Ph.D. is Chair of the Department of Epidemiology and Prevention, Professor of Epidemiology, and Professor of Gerontology and Geriatric Medicine at Wake Forest University School of Medicine. Dr. Mielke works as a translational epidemiologist to further understanding of the etiology and epidemiology of neurodegenerative and other aging-related diseases. One focus of her research is understanding the utility of blood-based biomarkers at the population level for screening and diagnosing Alzheimer’s disease (AD). Another focus is on understanding sex and gender differences in the development and progression of AD and of other aging-related conditions. Dr. Mielke directs the Mayo Clinic Specialized Center of Research Excellence (SCORE) on Sex Differences. She received the John R. Raymond Mentor Award from the Women Scholars Initiative. She is the PI of several NIH-funded clinical- and epidemiological-based grants and has published over 360 manuscripts.
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Michelle M. Mielke, Ph. D. est titulaire de la chaire du Département d'épidémiologie et de prévention, professeure d'épidémiologie et professeure de gérontologie et de médecine gériatrique à l'École de médecine de Wake Forest University. Mme Mielke travaille comme épidémiologiste translationnelle dans le but d'approfondir la compréhension de l'étiologie et de l'épidémiologie des maladies neurodégénératives et autres maladies liées au vieillissement. Un accent de sa recherche est la compréhension de l'utilité des biomarqueurs sanguins au niveau de la population pour dépister et diagnostiquer la maladie d'Alzheimer (MA). Un autre accent est la compréhension des différences entre sexes et genres dans le développement et la progression de la MA et d'autres affections liées au vieillissement. Mme Mielke dirige le Centre spécialisé en excellence de la recherche (SCORE) sur les différences sexuelles de la Mayo Clinic. Elle a reçu le prix John R. Raymond Mentor de la Women Scholars Initiative. Elle est l'investigatrice principale de plusieurs subventions à base clinique et épidémiologique financées par les National Institutes of Health (aux États-Unis) et a plus de 360 publications à son actif.
Keynote: Pathology progression modelling in Alzheimer’s disease
Alan Evans
McGill University / Université McGill
Currently Co-Director of the Ludmer Centre for Neuroinformatics and Mental Health, Scientific Director of McGill’s $84M CFREF project “Healthy Brains, Healthy Lives” and Scientific Director of the Canadian Open Neuroscience Platform. This platform is built upon an international grid-processing network (CBRAIN) developed in Evans’ lab and has been extended to include international brain networks, notably the Canada-China-Cuba Axis and the Global Brain Consortium, both co-chaired by Evans. He headed the Data Coordinating Center for the NIH-funded multi-center MRI Study of Normal Pediatric Development. Finally, he was a Founder of Biospective Inc., (www.biospective.com), a CRO that offers 3D image analysis for clinical/pre-clinical pharmaceutical studies.
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Il est présentement codirecteur du Centre en neuroinformatique et santé mentale Ludmer, directeur scientifique du projet FERAC de 84 M$ de McGill intitulé Un cerveau sain pour une vie saine et directeur scientifique de la Plateforme canadienne de neurosciences ouvertes. Cette plateforme repose sur un réseau international de traitement de grille développé dans le laboratoire de M. Evans et a été étendue pour inclure les réseaux internationaux sur le cerveau comme l'Axe Canada-Chine-Cuba et le Consortium international de cartographie cérébrale, dont M. Evans assure la coprésidence. Il a dirigé le Centre de coordination des données de l'étude IRM multicentrique financée par les National Institutes of Health (aux États-Unis) sur le développement pédiatrique normal. Enfin, il fut le fondateur de Biospective Inc. (www.biospective.com), une société de recherche contractuelle qui offre une analyse d'images 3D pour les études pharmaceutiques cliniques et précliniques.
McGill University / Université McGill
Currently Co-Director of the Ludmer Centre for Neuroinformatics and Mental Health, Scientific Director of McGill’s $84M CFREF project “Healthy Brains, Healthy Lives” and Scientific Director of the Canadian Open Neuroscience Platform. This platform is built upon an international grid-processing network (CBRAIN) developed in Evans’ lab and has been extended to include international brain networks, notably the Canada-China-Cuba Axis and the Global Brain Consortium, both co-chaired by Evans. He headed the Data Coordinating Center for the NIH-funded multi-center MRI Study of Normal Pediatric Development. Finally, he was a Founder of Biospective Inc., (www.biospective.com), a CRO that offers 3D image analysis for clinical/pre-clinical pharmaceutical studies.
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Il est présentement codirecteur du Centre en neuroinformatique et santé mentale Ludmer, directeur scientifique du projet FERAC de 84 M$ de McGill intitulé Un cerveau sain pour une vie saine et directeur scientifique de la Plateforme canadienne de neurosciences ouvertes. Cette plateforme repose sur un réseau international de traitement de grille développé dans le laboratoire de M. Evans et a été étendue pour inclure les réseaux internationaux sur le cerveau comme l'Axe Canada-Chine-Cuba et le Consortium international de cartographie cérébrale, dont M. Evans assure la coprésidence. Il a dirigé le Centre de coordination des données de l'étude IRM multicentrique financée par les National Institutes of Health (aux États-Unis) sur le développement pédiatrique normal. Enfin, il fut le fondateur de Biospective Inc. (www.biospective.com), une société de recherche contractuelle qui offre une analyse d'images 3D pour les études pharmaceutiques cliniques et précliniques.